Une semaine après

Une semaine après, il me reste...

• 1 dette de sommeil toujours pas rattrappée, en partie à cause de 3 bals en 4 jours, plus une partie de jdr, plus... d'autres trucs. Et une panne de réveil ce matin, du coup.
• 1 chambre en désordre absolu, en partie à cause du manque de sommeil décrit ci-dessus.
• Plein de contes écrits, d'idées de contes à écrire, de dessins à faire, de morceaux de flûte à apprendre, de danses aussi...
• Trop de gadoue sur mes chaussures, toujours pas réussi à la nettoyer...
• 13 bougies magiques, sœurs de celle autour de laquelle le conte de Noël de Kendra nous a réunis, à allumer en cas de marrissement.
• 1 peu de thé belge de Noël, qui sent bon et que je me régale de pouvoir le boire, ... un jour.
• Plein de contes et de nouvelles à lire...  sans parler du conte rendu!
• 1 pot de pâte à tartiner côtes d'or à lécher...
• 1 voix qui reprend petit à petit du poile de la bête, parce que je l'amadoue avec du miel
• Quelques sachets de thé et de verveine, qui restent du partage des victuailles
• Plein de photos, et peut être même bientôt une vidéo
• 1 pompon sur mon bureau, à défaut d'être sur mes lunettes, pour me rappeler ma pomponnitude absolute.
• 1 plume de buse offerte par une vraie Fée.
• Quelques regrets que les absents n'aient pas pu venir
• 1 furieuse envie de manger de la salade.
• Des tas de nounours, chatons, pommes de pin, etc... virtuels ou non, lancés et reçus même parfois!
• 1 couronne de lauriers en lierre (c'est original, pour une couronne de lauriers, hein!)
• Des étoiles dans les yeux et des papillons dans le ventre, rien que d'y repenser.
• Et encore, je ne vous parle même pas du reste...

Et surtout...
Et surtout, la chaleur de l'amitié qui ne se jette pas dans le feu, mais qui en est un à elle toute seule.
Et surtout, des noms et des visages, des voix et des pseudos, blottis dans ma mémoire
Et surtout, le souvenir des rires, des chants, des danses, des contes, des chatouilles, des chutes et des gâteaux.

Et puis...

Une folle envie de recommencer!
C'est quand qu'on remet ça, hein, dites?

Comments

[Laegalad]

Il me reste la même chose, à quelques détails près :) Et je viens le 25 février... :)

[Mel'O'Dye]

hompfff ... oké ... je vais voir si je trouve un fest-noz par chez moi ... ;-p

grmbll

[Lalaith]

Mel' >> Le 25 février, il y a un fest-noz à Lyon (je sais pas encore où à Lyon par contre, mais je trouverai, dussé-je user de torture psychologique sur brigitte, en lui jouant en boucle l'avant deux de la Mézière.)

J'ai proposé à ceux qui voulaient venir de les héberger en mon palais hobbittal, cependant, devant l'abondance de réponses, certains risquent de devoir dormir dans la demi-baignoire, voire dans le frigo (qui sent encore un tout petit peu le moisi). Il va falloir s'organiser de façon très stricte, de manière à pouvoir ne rien faire comme c'était prévu.

Kendra >> Tu viens, le 25 février? ;-)
Quand aux chemins, Laegalad confirmera que ceux qui mènent à Faërie ne sont pas goudronnés, mais couverts d'herbe avec juste dessus la rosée du matin... ET PAS DE GADOUE!

Marsu >> ... :-P ...

Moukmouk >> Euh, merci pour le phoque :-D

Irulan >> :-P aussi !

[Mel'O'Dye]

ouaip ... et pis quand on loupe un moot on a le blues-de-pas-de-moot et ça c'est pire que d'être privée de chocolat ...

y spasse quoi le 25 février ?

'fin moi j'dis ça ...
;-))

[Kendra]

Maintenant Lalette ne se demandera plus "mais pourquoi Kendra ne poste jamais sur mon blog ?" (la réponse aurait pu être "paske elle trouve ça beaucoup plus rigolo de ne jamais mettre les sites en favoris et de les chercher manuellement)
Car c'est chose (presque) faite.

Les moots ne se déroulent pas dans le même espace-temps que les autres choses. C'est comme ces chemin qu'on jurerait de n'avoir jamais vus avant (et pour cause !) et qui vous emmène mine-de-rien-que-je-t'embrouille dans un repaire de fées. Le temps n'y passe pas comme ailleurs. Et quand on décide qu'on veut en repartir... pfuuuuit, plus de chemin. Alors on le cherche, et quand on le retrouve, on le prend. Et quand on rentre chez soi, les saisons ont passé sans nous demander notre avis. Des fois on a du varech et même des moules accrochés à ses orteils, d'autres fois desvesses-de-loup qui vous poussent au creux des coudes.

Les moots sont pareils. Sans les effets secondaires liés au varech et aux esses-de-loup. Et après on a quelque chose qui tient chaud comme un petit soleil, mais la seule chose qui l'alimente correctement, c'est de revoir ses namis. C'est comme ça.

J'arrive pas bein à dormir une semaine après, je glandouille, je farfouille, et j'attends la prochaine fois. Mais en m'y préparant de pied ferme, palsambleu !