Naheulbeukevala - Episode IX (où on assiste enfin à un concert, c'est pas trop tôt)
La Narrateuse : En effet, la
Compagnie était arrivée devant la Salle des Ménestrels.
Et ils virent avec peu d'étonnement les Gens-Du-Métro,
et purent admirer leurs déguisements. Et ce qu'ils virent les
plongèrent dans la marritude, surtout Laegalad, car ils durent
reconnaître que le vêtement vert avec un collier de
fleurs hawaïennes était censé représenter
un Elfe. Et Laegalad se sentit marrie dans son Elfitude, mais pas
autant que Kendra lorsque un cuistre lui demanda si elle aussi, elle
était une elfe, à cause de sa tunique verte, pourtant
d'une facture typiquement Rohirrique!
Les Compagnons rentrèrent
néanmoins dans la salle, et se firent tamponner le bras, qui
d'une vache folle, qui d'une patte de félin. Et ils
constatèrent que les seuls sièges non encore occupés
étaient ceux du fond de la salle, ce qui leur causa quelque
marrissement, pour qu'ils auraient aimé être tout près
des Ménestrels. Ils s'y installèrent néanmoins,
et furent rejoints par les Gens-Du-Métro qui occupèrent
le dernier rang, juste derrière eux (qui étaient donc à
'avant-dernier rang, c'est bien, vous suivez).
Et Lalaith se sentit quelque peu
marrie, car la présence de gens derrière risquait de
l'empêcher de voir ce qu'il se passait sur scène...
L'Elfe : Euh, le contraire tu
veux dire.
La Narrateuse : Quoi?
L'Elfe : je vois pas trop
comment les gens de derrière peuvent empêcher Lalaith de
voir, même si elle est minuscule.
La Narrateuse : Tout simplement
parce que Lalaith avait commencé à s'installer sur le
strapontin replié, afin de se surélever. Mais si
quelqu'un se mettait derrière, elle ne pouvait pas décemment
lui boucher la vue! D'où son marrissement.
L'Elfe : Ah, d'accord!
Lalaith : Pas grave, je vais
leur demander si ça les embête que je me mette dessus.
Coucou, les gens, derrière! Ca vous embête si je
m'installe comme ça, que je saute partout, que je chante faux
et que je fais du bruit? Non? Bon, tant mieux.
Kendra : Ah ben, si ça
les gène pas... Allons-y!
La Narrateuse : Et tous se préparèrent à faire les fous, ainsi ces deux derniers rangs promettaient d'être les plus enthousiastes, bruyants et surtout remuants. Ce fut effectivement le cas, car une des premières chansons des Ménestrelles précédant les Menestrels faisait intervenir des filles de Lorient, et certains dans l'avant dernier rang, sans doute conditionnés par les images-qui-bougent de Pierre (le fils de Jacques, et non celui de Lamberte), se sentirent obligés de rectifier en Lorien (je vous le fais sans l'accent).
*Intermède musical débile*
Ce sont les
filles de Lorient,*Lorien!* jolies
Ce
sont les filles de Lorient *Lorien!*
Mon dieu,
qu'elles sont jolies, lon là
Mon
dieu qu'elles sont jolies.
*Fin de l'intermède musical
débile*
Et dès que d'autres chants furent entonnés, les indécrottables bretonnants de la troupe (que dans un souci de discrétion nous ne nommerons pas ici), sans doutes stimulés par la proximité de la salle de Claude le Maître à Danser, décidèrent d'entraîner de leurs petits doigts recourbés ceux des autres en un mouvement d'an-dro parfaitement adapté à toute danse, surtout si ce n'est pas un an-dro, d'ailleurs. Mais constatant que les bras de Laegalad frappaient les dossiers à chaque tour (car, comme tout linguiste chiant ou pas nous le ferait remarquer...
L'Helvète : Top, top,
top, ça c'est MA réplique. "dro", ca veut
dire "tour" en breton, même que "Hanter dro"
ca veut dire "demi tour", et c'est très bête,
parce que c'est même pas un demi tour, c'est plutôt un
trois-quart d'an-dro, ce qui devrait se dire...
La Narrateuse : Merci, ca ira.
Comme donc, à chaque tour...
L'Helvète : ce qui se dit
'dro' en breton, comme vous pourriez l'apprendre aux cours du
Vendredi avec Brigitte, qui...
La Narrateuse : Merci, ca ira,
ai-je dit. Les grands bras de la grande Laegalad donc, heurtaient les
dossiers, ce qui était très embêtant, surtout
pour elle (et pour les dossiers). Alors les Compagnons décidèrent
d'arrêter, et de plutôt faire du bruit avec leurs mains.
Et ladite Laegalad, sans doute pour faire oublier son manque d'ardeur
à démolir les sièges avec ses coudes, se lançait
sans cesse dans des contretemps non seulement fort compliqués,
mais aussi fort bruyants, mais terriblement elfiques cependant, et
aussi monstre stylés (car comment aurait-il pu en être
autrement? On se le demande). Ce ne fut apparemment pas du goût
de certains trolls des alentours, mais qui se soucie des goûts
esthétiques des trolls? Personne, pas même eux.
L'Elfe : les trolls, c'est bête!
Le Troll : Schlagevuk.
L'Elfe : Et ça passe son temps à manger aussi.
L'Ogre : Zog zog!
L'Helvète : Il a dit...
La Hobbitte-Haricotte : Ca nous intéresse pas.
L'Helvète: Mais si, c'est intéressant! Il a dit...
La Fée-des-Îles : Chut! Elle essaye de raconter une histoire!
Milie : Oui, et nous, on essaye
d'écouter le concert.
Laegalad : On s'entend plus
faire du bruit, un peu moins fort, là-haut, je vous prie!
La Narrateuse : Or, soudain, le
Nain arriva sur scène, alors que les Ménestrelles
étaient lancées dans une triste complainte dont les
paroles n'ont pas été retenues par l'Histoire, et de
toutes façons, on s'en fiche, je vous signale. Et il avait à
la main non pas une chaussette, comme on aurait pu s'y attendre, mais
une banane. Et il engagea...
Le Public: BANANE!
La Narrateuse : l'assistance...
Kendra : PANTOUFLE!
La Narrateuse : à...
Le Public: BANANE!
La Narrateuse : crier "Banane"
à tout
Lalaith : POULET RÔTI!
La Narrateuse : bout de champ.
Ce que...
Le Public: BANANE!
La Narrateuse : ce que chacun
mit une grande application à faire, sauf deux ou trois
zigotos, dans le fond, qui crièrent d'autres choses. Mais
leurs noms, si la Légende s'en souvient, ne seront pas donnés
ici, car ils sont par ailleurs bien assez marris comme ça dans
ce compte rendu.
La Hobbitte-Haricotte : Eh, mais
c'est qui? Des noms, des noms!
La Narrateuse : Non, non, pas
moyen... Je risque de me faire marrir la gueule si je vous donne des
noms de toutes façons...
La Rohirrime : Te faire marrir?
Je voudrais bien voir comment...
La Narrateuse : Ben en fait
j'aimerais éviter d'être marrie à coups d'objets
contondants, comme une enclume, un poulet congelé, un helvète,
une pomme pourrie, un avion à réaction, un ti-racoon,
ou autres...
La Fée-des-Îles :
Ah oui effectivement, ta sécurité est vraiment en
danger. Ne nous donne pas de noms alors, et continue plutôt ton
histoire...
La Narrateuse : D'accord. Les
chansons monstre stylées s'enchaînaient donc**, et les
cris et les rires de même, surtout aux derniers rangs. Quand
soudain, le Nain eut la bonne idée de demander à /Toi,
Public/, de faire les choeurs. La Compagnie dut donc s'exécuter,
et chacun de faire de ses bras un gros cœur au dessus de sa tête.
Cela les contraria un peu, car ils devaient du même coup cesser
de frapper des contretemps monstre stylés et embêtants
pour les voisins. Mais c'est pas grave, ils s'amusèrent bien
quand même.
La Rohirrime : Et après?
La Narrateuse : Du calme, je reprends mon souffle... C'est fatiguant de raconter, je te signale.
Surtout si je me fais interrompre en permanence.
L'Helvète : Chut! On va
danser...
La Narrateuse : Hé, mais
comment tu sais ça toi? Tu vois dans le futur, en plus d'avoir
toujours raison?
L'Helvète : Non, mais je
sais lire, et par exemple dans le compte rendu que j'ai moi même
rédigé il y a des myriades d'éternités,
ca dit qu'on va danser. Donc, on va danser!
La Narrateuse : T'es un peu
pénible à avoir encore raison, mais c'est vrai. Car
soudain, la musique fort reconnaissable d'un an-dro retentit dans la
salle.
*Intermède musical*
Bonsoir le maître de la maison
(bis)
Et à toute la compagnie,
landiredire, landura (bis)
Je suis venu ici ce soir (bis)
Ni pour chanter ni pour rire
landiredire, landura (bis)
Je suis venu pour vous demander (bis)
A marier votre fille landiredire,
landura...
La Narrateuse : Mais non! Mais pas du
tout! C'était bien un an-dro, mais ce n'était pas du
tout celui là. Il n'est pas du tout naheulbeukien, cet an-dro!
Les chœurs : Ah? Bon. Mais lequel on
fait alors?
La Narrateuse : J'ai dix sous dans
ma poche, ...
Les chœurs : j'ai aucun argent, j'ai
dix sous dans ma poche, j'ai aucun argent
Et toujours gué-gué,
toujours gaiment, Y'a bien des gens dans mon village qui n'en ont pas
tant!
*fin de l'intermède musical*
La Narrateuse : Voilà. Et donc, entendant cette musique douce à leurs oreilles et pleins d'entrain, les bretonnants qu'on ne nommera toujours pas s'agrippèrent par les petits doigts et entraînèrent dans leur chute un certain nombre d'autres gens. Et bientôt tout le public dansait non pas un an-dro, mais un grand n'importe quoi géant tout autour de la salle. Tout le public? Non! Car on peut constater à ce moment là que de nombreux Aurors avaient été dépèchés. En effet, une proportion non négligeable de la salle était très occupée à ne pas bouger. Et Dame Milie se sentit sans doute obligée de surveiller les Aurors, afin qu'ils ne pétrifient pas un membre de la Compagnie dont elle était la seule représentante raisonnable. En effet, elle resta assise à sa place, surveillant d'un œil avisé les Aurors mal camouflés. (c'étaient les seuls avec Tirno à porter des vêtements moldus, mais Tirno était aisément reconnaissable comme tel à sa Suissitude, contrairement aux Aurors, aisément reconnaissables à leur absence frappante de point particulier.)
* Note de l'Elfe : *
L'Elfe :
Sol !
La Narrateuse
: Pardon ?
L'Elfe :
ben, j'ai dis que je faisais une note, donc je fais un sol. J'aurais
pu faire un si, mais le sol me plaisait bien.
La Narrateuse
: si c'est tout ce que tu avais à dire, tu pouvais me laisser
parler !
L'Elfe :
comment ? Ah mais non ! Le sol était la note bleue de ce
morceau, les notes bleues sont très importantes, elles
donnent un aspect mélancolique à l'essemble, ce qui est
complètement décalé, donc rigolo, donc comme
c'est rigolo, c'est bien. Puis c'est pas tout ce que j'avais à
dire, parce que tu as oublié des trucs je te signale.
La Narrateuse
: Ah bon ? Moi ? La Grande Narrateuse, j'ai oublié des trucs
?!
L'Elfe :
Oui. D'abord, y'a des Aurors qu'ont fait la farandole du Grand Nain
Porte Quoi aussi, j'en avais un accroché à ma main
gauche, monstre stylé d'ailleurs, mais c'était pas une
raison, je n'allais pas jetter de sort. En même temps il avait
l'air de vouloir s'amuser aussi, je l'ai vu dans presque toutes les
farandoles qu'on a lancé. Parce que je te signale qu'on en a
lancé beaucoup, des farandoles. Même que la dernière
qu'on a pu faire, on n'a pas pu passer devant la scène, parce
que le sol était trempé de condensation, alors on a
fait un serpentin à trois files ce qui était le très
drôle.
La Rohirrim
: Et puis tu as oublié la chason Barbare où ils ont
demandés à tous les barbares de se mettre devant la
scène, de ne garder que leurs pagnes, et de d'invoquer Krom
aux refrains.
La Hobbitte-Haricotte
: En pagne ? Ça fait des hanches magnifiques,
les pagnes !
L'Elfe :
En l'occurence, je ne suis pas persuadée. Le pagne se
réduisait souvent à un simple pantalon.
La Hobbitte-Haricotte
: C'est pas drôle.
L'Elfe :
Mais ils ont évité l'émeute au moins !
La Hobbitte-Haricotte :
Les meutes de quoi ?
L'Elfe :
une « émeute », pas une...
Le Suisse
: Hé, le linguiste chiant, c'est moi ici !
La Narrateuse
: et puis ça suffit, vous me faites perdre mon temps, là,
je signale que c'est moi qui raconte et que ta note est drôlement
longue, l'Elfe !
L'Elfe :
Et encore, je ne l'ai pas faite en respiration cyclique...
La Rohirrime : En quoi ?
L'Elfe :
en respiration cyclique : tu souffles en permanence dans ta flûte,
et en fait tu inspires en même temps que tu souffles, ce qui
fait que tu peux tenir le monstre longtemps.
La Narrateuse : J'ai dis STOP ! Mais c'est pas vrai à la faim !
Le Suisse :
A la fin, pas faim. Quoique
je commence à avoir un petit creux...
La
Narrateuse : *soupir*
* fin de la note de l'Elfe *
La Narrateuse : Merci, l'Elfe. Cela dit, tu m'accuses d'avoir oublié des trucs, mais tu en oublies aussi, je te signale... Par exemple, le fait que dans l'avant dernière farandole, la peau de la banane du Nain s'étant retrouvée par terre devant la scène, une Hobbitte et un Helvète aient failli se casser la marboulette par terre en dansant une gavotte des montagnes sur un air non identifié, mais c'est rigolo la gavotte des montagnes. Ou celui qu'une valse fut jouée, et que les mêmes que sus-cités décidèrent de la danser dans l'allée, et qu'une inconnue monstre stylée les rejoint, ce qui fit qu'ils dansèrent la valse à trois, puis séparément, ce qui fut rigolo.
Lalaith : Le oui! Et l'inconnue
avait des cheveux monstre longs et une tenue monstre stylée,
aussi!
Tirno : Le c'est très
vrai. Mais elle s'appelle comment?
Lalaith : Je sais plus. Elle me
l'a dit à la fin, alors qu'on s'en allait vers d'autres cieux
monstre stylés, mais je l'ai oublié aussitôt. **
La Narrateuse : ben c'est malin!
Lalaith : Le non. Mais bon, tant
pis. On ne peut pas tout retenir tout le temps, non plus.
La Narrateuse : Oui, mais là,
quand même!
Lalaith : Oui ben ca va, je suis
assez marrie comme ça. Et puis de toutes façons, elle
va même pas aux autres bals, parce que moi, si, et je l'y vois
pas.
La Fée-des-Îles :
Oui, et, euh, donc?
La Narrateuse : Ben, rien. Le
concert terminé, les Aventuriers sont sortis de la salle dans
le plus grand désordre, et...
L'Helvète : Oui, c'est
malin, nous Brigitte et Claude nous ont bien dit de pas faire de
bruit sinon on aurait pas la salle la semaine prochaine. Vous voyez,
on a fait du bruit, et paf! on a pas eu de Naheulbeukevala la semaine
suivante.
La Hobbitte-Haricotte : Ah,
c'est vraiment pour ça? Le zut. Si j'avais su, j'aurais fait
le cri du Nazgûl un peu moins fort.
La Rohirrime : Le oui, moi
aussi!
La Narrateuse : Mais vous ne le
saviez pas, et d'ailleurs, c'est faux. Donc, Les Aventuriers, après
avoir demandé son nom à l'inconnue-mystère et
l'avoir oublié, se dirigèrent d'un pas aventurier et
bruyant vers...
La Rohirrime : Vers où,
au fait?
La Hobbitte-Haricotte : Ben,
vers Técéhel, comme d'habitude.
L'Elfe : Oui, mais vers Técéhel
pour aller où ça?
L'Helvète et la Fée-des-Îles
: Ben tiens! À L'Euhènesse, évidemment!
La Hobbitte-Haricotte : Mais je
l'ai pas passé, moi, le concours de l'Euhènesse. Je
peux pas y aller du coup.
L'Helvète : Pas grave, je
vous ferai passer avec ma carte magique de chercheur que moi j'ai
trop la classe avec et pas vous, nananananère!
La Fée-des-Îles :
Non, ça marchera pas.
L'Helvète : Pourquoi?
La Fée-des-Îles :
Ca marchera que si on rentre du côté de l'entrée
officielle, mais du côté des résidences, il n'y a
que les cartes d'étudiants pour-de-vrai qui marchent. Donc,
pas la tienne.
L'Helvète : Ah oui? Ca
m'étonnerait.
La Fée-des-Îles :
Ben tu verras.
La Narrateuse : Oui, mais on
verra ça dans le prochain épisode, parce que là,
je commence à avoir un peu soif, donc, ca sera pour la
prochaine fois!
La Hobbitte-Haricotte : Oh, le
zut.
L'Empereur-Dieu : Mais c'est
vachement brutal, comme fin d'épisode, non?
La Narrateuse : Non. Et arrête
de lire par dessus mon épaule, à la fin.
L'Empereur-Dieu : Méééeuh!
De toutes façons, je suis omniscient, donc j'ai pas besoin de
lire!
La Narrateuse :
IL-N'Y-A-PAS-D'EMPEREUR-DIEU-DANS-CE-CONTE-ALORS-ARRÊTE-A-LA-FIN-NON-MAIS-HO!
* Pour plus de détails, rendez-vous dans votre magasin de jeux de rôles favori, penchez-vous d'un air grivois vers le vendeur, et sussurez-lui à l'oreille "Bonjour, je voudrais vous prendre /A Poil dans la Forêt/."
** Note de Lalaith : Si tu es une
fille monstre stylée avec des cheveux longs, un jupon de toile
blanche et une chemise de même, plus un corsage d'un très
joli rouge, *Interruption de
Tirno* et
pas de lunettes, mais si tu en as c'est encore mieux ! *Fin de
l'interruption de Tirno* et que tu as dansé au
Naheulbeukevala avec une Hobbitte-Haricotte, un Helvète, une
Elfe, une Rohirrime, pas de Fée-des-Îles, sans parler du
reste, et que j'ai oublié ton nom, manifeste-toi!
Et si vous voulez un compte rendu d'un autre concert des mêmes, allez voir chez Menelmacil si j'y suis, pour ce que les Ménestrels se produisirent aussi en sa cité.
Ils se produisirent aussi il y a peu en la cité de Paris où Dame Kendra habite avec son Poussin ; et lesdits Poussin et Rohirrime allèrent les voir, et eurent l'idée monstre stylée d'utiliser leur Palanlasta pour faire partager une chanson à la Hobbitte-Haricotte, qui les en remercie en la grande quantité (du très beaucoup).